Les longs chemins d’un selfbondage de malade mental

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il y a 6 ans
Après avoir testé le coffre électronique pour ma chasteté, je m’en suis servi pour un selfbondage de folie.

J’ai commencé par mettre ma cage de chasteté avant toute chose, se préparer pour une session de selfbondage est très excitant et je n’aurai pas pu la mettre après. A la suite de quoi, je suis allé cacher trois clés dans le bois derrière chez moi à un bon quart d’heure de marche.

La deuxième clé était celle de mon plug anal de chasteté, celui qui s’ouvre dans les fesses et se bloque avec un cadenas.

La troisième clé était celle du cadenas de ma culotte plastique qui se ferme avec une chaînette et un cadenas.

De retour à la maison, j’ai immédiatement mis mon plug anal de chasteté puis une couche Abena et la culotte plastique qui se ferme avec une chaînette et un cadenas.

A la suite de quoi, je me suis fait un string de chaîne par dessus la culotte en plastique et je l’ai bloqué avec un cadenas posé au dessus de mon nombril. Le but était de bloquer des menottes au niveau de mes reins.

Mes accessoires BDSM et fétichistes étaient composés d’un soutien-gorge bloquant mes pinces à seins puis un body sculptant de femme et un collant. Pour ne pas attirer l’attention ni risquer l’attentat à la pudeur en allant chercher les clés quand je serai libre, j’ai enfilé un survêtement. Cela me faisait tout boudiné, un gros c... et transpirer.

Par sécurité, au premier étage de la maison, j’ai attaché une corde solide qui allait d’une grosse armoire au bas des escaliers. Elle me permettrait de descendre les escaliers bondagé et à l’aveugle en tenant la corde. Fou dans mes selfbondages mais pas suicidaire !

J’étais déjà en transe, le plug de chasteté anale commençait à « pousser » comme si j’avais envie de déféquer et dans la cage de chasteté, ma verge était compressée au maximum. Du ruban adhésif et une chaîne plus un cadenas m’ont permis de lier mes chevilles et mes cuisses serrées. Là, commencer à me déplacer devenait difficile.

Pour compliquer un peu ma libération, j’ai entravé mes chevilles au radiateur avec une chaîne et un cadenas dont les clés étaient dans le coffre électronique.

Il était aux environs de 15 heures, quand j’ai enfilé ma cagoule d’isolation BDSM et bloqué mes menottes au niveau de la chaîne de me reins. Cette chaîne bloquait mes mains de telle façon que je ne pouvais pas essayer de retirer les pinces à seins. Les clés des menottes étaient dans le fameux coffre électronique que je me suis offert il y a peu. Une ficelle les reliait à mes menottes. Le coffre était programmé sur 3 heures, j’allais donc rester bloqué au moins 3 heures avant de pouvoir commencer ma libération.

Après le dernier clic des menottes, par habitude j’ai commencé à tester mes entraves. Impossible de m’échapper. Hum... Rouler et tirer sur les entraves, quel plaisir.....

Le premier soucis est rapidement arrivé dans mes fesses. Le plug de chasteté anale semblait vouloir sortir, sauf qu’une fois ouvert à l’intérieur de l’ampoule rectale, s’il sortait cela risquait d’être plus que ultra hard ! J’ai donc serré les fesses comme un malade. La meilleure position pour le maintenir était couché sur le ventre fesse serrées, mais, couché sur le ventre, les pinces à seins..... La patience étant de mise quand on fait du selfbondage, j’ai fini par trouver un compromis au niveau de la position puis par m’endormir, tous ces préparatifs m’ayant épuisé.

Le réveil fut difficile, très difficile ! Le plug anal de chasteté semblait vraiment vouloir sortir, ma vessie criait son envie de se vider. J’ai bougé pour le coincer en massacrant mes tétons avec les pinces. La chose douloureuse faite, le pipi couche sous cage de chasteté fut un réel moment de plaisir de par les sensations et le soulagement d’uriner. Lorsque j’ai tiré sur la ficelle des clés de mes menottes, le coffre s’est rapproché de moi mais n’était toujours pas débloqué. L’attente a commencé à devenir compliquée sur le plan anal puis difficile pour mon pauvre corps compressée et pincé en plus de l’inconfort.

Au bout d’un moment que j’ai trouvé très long, le capot du coffre s’est ouvert et a libéré les clés de mes menottes. Les mains engourdies, cela m’a pris plus de deux minutes pour les ouvrir à l’aveugle, je commençais même à me trouver nul ! A tâtons, j’ai rapidement trouvé les clés du cadenas de la chaîne m’entravant au radiateur. Une fois partiellement libéré, il me restait à descendre les escaliers pour aller récupérer les clés de la cagoule + les ciseaux pour couper le ruban adhésif + les clés de la chaîne bloquant mes chevilles.

Comme indiqué précédemment, j’avais prévu une corde pour assurer ma descente en « rappel ». Comme je n’avais aucune marge de manœuvre au niveau de mes chevilles, c’est avec la corde de sécurité dans les mains que j’ai descendu les escaliers un à un avec prudence sur les fesses. A chaque marche, le plug anal....... J’ai du faire une pause en cours de route tant ma tête tournait.

Arrivé en bas des escaliers, j’ai pris l’option de ramper sur le ventre, mon anus n’en pouvant plus. Ramper sur le ventre avec des pinces à sein fut assez douloureux. J’ai donc commencé à tricher en plongeant les mains dans le body sculptant pour les retirer. Là j’ai un peu dégusté....

Il était 19 heures quand j’ai pu enfin marcher librement sur mes jambes après avoir retiré la cagoule. Je comptais me rendre sans tarder dans le bois derrière chez moi pour aller chercher les clés. Je comptais...... Je comptais...... Je comptais......

« Je comptais » car devant la maison, les jeunes du quartier jouaient au foot ! Même avec mon survêtement cachant ma tenue, je n’ai pas osé sortir. Je n’ai pas osé sortir pour aller chercher les clés dans le bois mais derrière ça poussait ! Pour compenser les effets sur mon anus, je me suis mis à marcher dans la maison en tenant le plug anal de chasteté. Chasteté « mon cul » cela m’a excité !!!!!! Cela m’a donné des envies de folie. Je me suis donc assis devant mon ordinateur, en étant assis dessus il ne tenterait pas de sortir. Et là, je suis devenue une « chienne en chaleur » !

Assis sur mon fauteuil je bougeais mes fesses comme si cela devenait un impérieux besoin d’avoir quelque chose qui bouge dans mon anus. Mes mains sont remontées machinalement vers mes tétons comme quand je m’accorde quelques plaisirs solitaires. Mes tétons n’en voulaient pas, j’avais trop f o r c é sur le temps des pinces à seins. C’était trop douloureux que de les titiller. Oui mais, dans ma cage de chasteté, la tempête faisait rage, je mis inutilement les « Mahomet », les mats au mets, pardon les mains au mat tordu dans son tube par dessus la couche et la culotte en plastique m’en interdisant l’accès. Je devenais fou !

Ce n’est que vers 21 heures que l’estomac des jeunes a du se manifester et les inviter à rentrer chez eux. C’est à pas de loup, avec un coeur de louve affamée de clés avec la main sur les fesses pour maintenir le plug anal de chasteté, que j’ai enfin pris le chemin de la libération. J’ai rejoué, à ma façon, le calvaire de Jean Moulin qui devait avoir la peur au vente, moi je l’avais juste un peu plus bas à cause de mes délires. Arrivé à l’arbre choisi, juste sous la pierre j’ai retrouvé les clés dans leur petit sac en plastique. Et là j’ai hésité entre rentrer comme ça avec le « frère sadique » dans les fesses et l’exclure du voyage retour.

La gestapo !

Pour moi c’était du pareil au même que la gestapo ! Dans ma rue, il y avait une voiture de flic ! Un voisin les avait appelé pour les jeunes qui avaient recommencé de jouer au foot ! Il voulait dormir et moi je voulais rentrer chez moi discrètement. Sans faire de bruit, sans me faire remarquer. Ce n’est qu’une bonne heure plus tard que j’ai enfin pu rentrer à la maison et me libérer derrière. J’ai retiré tous mes sextoys, les pièces féminines de ma tenue fétichiste et là, vous pensez que j’ai soulagé mes tentions intérieures ? Et bien non, j’étais tellement HS que je me suis allongé sur le lit en couche sur le lit pour souffler et que je me suis endormi comme un bébé.

Ecrivaillon

QUELQUES LIENS

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